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07 57 17 42 17 : numéro solidaire pendant le confinement, appelez-le !

Paroisse saint francois des coteaux - vertou - numéro solidaire

Vous avez besoin d’un service, vous êtes trop seuls :
appelez le 07 57 17 42 17 ! N’hésitez pas ! Vous pouvez y laisser vos messages, vous serez rappelés.

Vous pouvez proposer vos services (visite à une personne vulnérable – cf. 4ème dérogation de déplacement -, courses, appels téléphoniques de soutien notamment aux personnes en maison de retraite…) : appelez-le 07 57 17 42 17 !

de la convivialité du Secours Catholique de Vertou :

1chaîne téléphonique a été mise en place. Depuis la semaine dernière, les rencontres sont annulées, donc trois bénévoles appellent respectivement des personnes qui ont l’habitude de se retrouver le vendredi après-midi dans une salle municipale au Loiry. Elles prennent de leurs nouvelles et si nécessaire peuvent leur faire des courses. Ces personnes accueillies sont souvent seules, un peu âgées et en ce temps de confinement ne reçoivent pas de visite.

Nous ressentons que ce temps d’échange téléphonique leur permet d’exprimer leurs soucis, leurs inquiétudes mais elles sont aussi contentes que nous pensions à elles.

• de la convivialité du Secours Catholique de la Haye-Fouassière :

Des contacts téléphoniques réguliers sont pris depuis la fermeture de l’oasis entre les membres habituels de cette convivialité.

de la convivialité du Secours Catholique de Château-Thébaud :

Depuis la semaine dernière avec Maryse, nous gardons un contact téléphonique régulier avec chaque membre de la convivialité, nous prenons le temps d’écouter et de nous inquiéter que chaque personne soit entourée par un membre de la famille ou un proche pour les courses ou autres démarches. D’autre part, la municipalité, par le biais du CCAS, a répertorié et contacté toutes les personnes de la commune susceptibles d’être isolées, fragiles et âgées. Un numéro de téléphone leur a été remis en cas de besoin.

• de la pastorale de la santé :

Avec les membres du service évangélique des malades, nous gardons les contacts avec les personnes dans la mesure de ce que nous pouvons faire. Nous avons de bons échanges avec les responsables des établissements mais il n’est pas possible d’obtenir les téléphones des résidents de Bel Air. Par contre aux Nymphéas c’est possible sur demande des résidents et ils appré- cient beaucoup. Nous faisons du lien aussi par courrier.

J’ai annoncé l’arrivée bientôt de dessins d’enfants ; ils seront très bien accueillis.

À l’hôpital des Clouzeaux, les personnes âgées sont confinées dans leur chambre, seule l’aumônière a le droit de visite des résidents mais la direction est soucieuse des besoins des plus fragiles.

• de l’Arche du Sénevé et du Parvis :

L’Arche du Sénevé a dû s’adapter au fur et à mesure des consignes de sécurité et de confinement. Depuis le lundi 15 mars, la communauté s’est confinée. Les activités de jour ont été fermées. Seuls les assistants salariés et quelques volontaires peuvent entrer dans les locaux, que ce soit à la Carizière, ou dans les foyers.

Chaque foyer est confiné dans sa maison mais a la possibilité de disposer d’une salle totalement séparée des autres sur le site de la Carizière. Cela permet quelques sorties hors de sa maison.

Heureusement quelques-uns ont pu retourner vivre dans leur famille, et les externes ont été invités à rester à leur domicile. Cela soulage la vie des foyers. Mais pour quelques-uns, particulièrement les externes, la situation est plus difficile.

Pour l’équipe, c’est plus exigeant car les aides extérieures sont totalement stoppées. Et ça pèse un peu plus lourd sur chacun.
En même temps, c’est une opportunité qui est donnée pour vivre simplement l’ordinaire de la vie. Les projets sont mis en attente, et il faut simplement vivre le quotidien. Une sorte de retour aux sources en quelque sorte.

À côté de cela, il y a beaucoup d’échanges téléphoniques. Chacun prend soin des autres, en appelant, en encourageant, en invitant à la patience. Pour le Parvis, bien sûr nous avons stoppé les permanences, et les repas conviviaux. Là aussi il reste le téléphone. Et finalement les « contacts » continuent. Chacun s’encourageant dans sa situation propre.